«tsirs» (ou bancs) : cordons littoraux, constitués de débris biogènes coquilliers dont le sommet est peuplé par des prairies de caulerpes parfois émergeantes à basses eaux
«oueds» (ou chenaux de marées) : dépressions sinueuses et étroites, profondes de 5 à 12 mètres et par lesquelles circulent les eaux de marées (pouvant atteindre des vitesses de 1.5 m/s). Bien que les chenaux de marées soient situés dans des sédiments meubles et donc potentiellement mobiles, on fait remarquer que la position de chenaux principaux n’a pas changé par rapport à des relevés cartographiques de 1884